Aimez-vous mon petit clito ?
Une photo de mon petit clito, avec juste un petit triangle pileux.
Je ne sais pas ce que vous pensez des bas résilles, mais pour ma part j'adore cela. Pour les curieuses, mon clito ne mesure que 17 centimètres, par chance les deux petits accessoires situés
ci-dessous ne sont pas trop volumineux, ce qui les rends assez discrets.
Mon dépucelage
C'était l'été, et comme tous les ans mon oncle Claude, agé de 25 ans seulement était venu passer des vacances chez nous. Il aimait d'autant plus venir chez nous, qu'il s'occupait activement de ma
mère depuis le décès de mon père. Cela ne me génait en aucune façon. A chaque fois qu'il était là, elle débordait de joie, et cela me plaisait.
L'année précédente mon oncle m'avait initié à certains plaisirs masculins. Nous nous étion masturbés mutuellement, puis j'avais découvert le plaisir de la fellation. L'initiative était venue de
lui, j'avais adoré cette caresse, surtout qu'il l'avait menée jusqu'au bout. Ravi de cette expérience, je m'étais empressé de lui offrir le même plaisir. Les derniers jours avant son
départ, il avait apporté un gode de bonne taille. C'était la première fois que j'en voyais un en vrai, après avoir humidifié son anus, il y avait enfoncé petit à
petit l'engin. Je n'en revenais pas. Pendant plusieurs minutes il effectua des va et vients, variant la vitesse et la profondeur de son enculage. A ma grande surprise, sans qu'il ait touché son
sexe, un flot de sperme en jaillit, et se répandit sur son bas ventre. Comme j'avais déja gouté à son foutre, je me mis à le lécher, avant de sucer sa queue encore poisseuse. Un peu effrayé par
la grosseur de l'engin, je n'avais pas voulu essayer.
Avant de nous quitter à la fin des vacances, il me l'avait discrètement laissé en guise de cadeau.
En attendant les vacances de l'année suivante, je métais laborieusement acharné à dilater mon petit trou. A force de persévérance, deux mois plus tard j'arrivais enfin à l'insérer dans mes reins,
si bien que j'étais prêt à recevoir enfin un vrai sexe. Aujourdhui mon oncle étant enfin de retour, il ne me restait plus qu'à sauter le pas.
En ce début d'après-midi, comme à l'accoutumée, ma mère était à son travail, et mon oncle se faisait une petite sieste. Je préparai soigneusement mon petit trou, puis me rendis jusqu'à la
chambre. Claude était sur le dos et par cette chaleur, son corps était nu. Je m'approchai sans bruit du lit. Son sexe reposait mollement sur sa cuisse, le gland légèrement découvert. A genoux
près du lit, j'approchai ma tête du sexe, puis je le happais avec délicatesse, et me mis à le sucer. Quel régal ! cela faisait un an que je n'avais plus pratiqué de fellation. Mon oncle
continuait à dormir, mais au fur et à mesure de mes caresses, la queue se dilatait petit à petit. Au bout de quelques minutes sa tige se redressait fièrement, luisante de ma salive. Je contemplai
mon oeuvre, puis je mouillai mon anus, tout en y insérant mes doigts. Après quelques aller-retours entre ma rondelle et ma bouche j'étais enfin prêt. J'enjambai le corps de Claude, puis je
m'accroupis au dessus de la verge dressée. Je l'empoignai et la guidai vers mes reins. Abaissant ama croupe jusqu'a sentir le gland buter, puis avec précaution je forçais doucement. Mon oeillet
résista un peu, puis s'épanoui et se laissa pénétrer. Mes nombreux godages m'avaient rendu accessible, je me faisai enfin sodomiser par un vrai sexe.
A ce moment, Claude ouvrit les yeux.
-Tu me fais une chouette surprise mon petit chat. J’adore être réveillé comme cela.
-Ravi que cela te plaise, j’attendais ce moment depuis un an. J’étais impatient de t’offrir mon pucelage.
-Je vois que mon petit cadeau t’a été très utile pour roder ton petit trou.
Il ne put en dire plus car j’écrasais mes lèvres contre les siennes. Aussitôt sa langue pénétra ma bouche, et s’enroula avec la mienne. Les vacances commençaient vraiment bien.
Pendant ce temps je m’empalais avec délice sur le pieu de
Claude. J’adorai mon gode, mais là c’était une vrai queue qui me fouillait les reins. Je m’activais comme une chienne, de temps en temps la queue sortait presque entièrement, puis je me laissai
descendre à fond pour sentir ses testicules sur mes fesses. Je pensais en moi-même que je devenais une salope à part entière. Claude me laissa l’initiative pendant de longues minutes, puis il
empoigna mes fesses, et se mit à me pilonner, ses cuisses claquaient contre mon corps, je me laissai faire, goûtant chaque coup de reins, qui semblaient propulser sa tige de plus en plus profond.
Sentant venir sa jouissance, je m’arrachai à ce délicieux empalage, puis gobais la bite toute luisante. Je pompais le sexe à toute vitesse. Mes efforts furent rapidement couronnés de succès. Un
jet de foutre inonda ma bouche. Ce n’était pas la première fois que je recevais son sperme, mais Claude n’avait jamais éjaculé autant. Déglutissant avec peine, je continuais à sucer sa queue
secouée de spasmes. Les dernières gouttes recueillies, j’embrassai mon baiseur, nos langues se caressèrent à nouveau, baignant dans un délicieux mélange de foutre et de salive. N’ayant pas encore
joui, je guidai à nouveau sa queue en moi. J’étais tellement excité qu’au bout de quelques va et vient, ma jouissance explosa, inondant le bas ventre de Claude.
Épuisés par notre petit jeu, nous nous endormîmes tous les deux.
Pendant tout notre mois de vacances, nous passâmes notre temps à faire l’amour, variant les plaisirs et les positions à l’infini. Nous passions pratiquement tous nos après-midi nus dans la maison, ou bien au soleil. J’aimai par-dessus tout sucer la queue superbe de Claude avant qu’il me l’enfonce à fond. J’adorai être sa chose, toujours prêt à lui offrir ma bouche ou mes reins, avant qu’il ne déverse sa semence dans ma gorge. A force de me faire prendre, mon anus était devenu très souple, Claude y mettait ses doigts à fond, fourrageant dans mon intimité pour mon plus grand plaisir, puis me les donnait à sucer avant de me rouler de somptueuses pelles.
Ma mère ayant dû s’absenter plusieurs jours, nous en profitâmes pour passer nos nuits ensemble. Claude m’avait offert un jouet que je ne connaissais pas. Évidemment vu sa forme, je n’avais aucun doute sur son usage. Il s’agissait d’un plug. Chaque fois que nous avions fini de faire l’amour, il me l’introduisait, et me le faisait garder jusqu’au matin. Insatiable comme je l’étais, je m’amusai pendant la nuit à contracter mon anus autour de l’engin fiché dans mes chairs. De délicieuses ondes de plaisir jaillissait alors de mes reins et me mettait dans tous mes états.
A la fin des vacances, je devais monter à Paris pour y poursuivre mes études. Claude eut alors une magnifique idée. Habitant à proximité de mon lieu d’études, il se proposa alors de m’héberger. Ma mère protesta, arguant du fait que j’allai importuner mon oncle.
Ne t’inquiètes pas pour cela, je vis seul à Paris et Dominique sera le bienvenu lui répondit mon oncle. Ma mère accepta, à la condition qu’elle participe aux frais de mon hébergement. Tout le monde était d’accord, surtout moi.
Mon arrivée à Paris
Le lendemain de mon arrivée, Claude reprit le travail, mais avant de me quitter, il m’informa qu’une de ses amis allait venir me voir, afin de me faire visiter Paris. De plus c’était notre voisine de palier, répondant au prénom de Sandy. Elle était d’autant bien venue, que je n’avais jamais mis les pieds dans la capitale. Je remerciai Claude, et lui fit un petit baiser sur les lèvres avant son départ.
Une petite heure plus tard, on frappa à la porte. J’ouvris, et me trouvai face à une très jolie jeune femme d’à peine 30 ans.
Bonjour ! Je suis Sandy. Tu es bien Dominique.
Oui c’est moi.
Aussitôt elle m’embrassa sur les deux joues, puis me fit un petit baiser rapide sur la bouche.
Viens chez moi, on va se prendre un petit café avant de partir.
J’acquiesçai, puis traversai le couloir jusqu’à son appartement.
Assieds-toi me dit-elle, j’en ai pour une minute.
Quelques minutes plus tard elle entra dans le salon, à sa vue, je restai coi. Sandy était nue ou plutôt elle était en guépière et bas, et le plus surprenant, à la place d'une chatte un joli petit sexe mâle pendait.
-Alors comment me trouves-tu ?
-Abasourdi, je balbutiai 'tu... tu.....tu es superbe, mais j'étais persuadé que tu étais une fille.
-Je croyai que Claude t'avais parlé de moi.
-Bien sûr mais il avait omis un petit détail.
-Et tu le trouves comment ce petit détail ?
-Ravissant.
Tout en parlant Sandy s'était rapprochée, si bien que sa joli petite queue se balançait à quelques centimètres de mon visage.
-Sans hésiter j'avançai ma bouche et du bout de la langue je me mis à lécher son sexe. Tirant la peau en arrière je décapuchonnai le gland encore tout fripé.
-Continue mon chéri , j'aime beaucoup.
-Encouragé je léchai le gland, ma langue l'humide l'enveloppai, avant de le prendre en bouche, puis je le recrachai tout luisant de sperme. Une véritable friandise, de plus la tenue de Sandy m'excitait au plus haut point. Jamais je n'aurais crû qu'un garçon puisse se transformer à ce point.
Tout doucement Sandy se mit à bouger, accompagnant ma fellation. C'était divin. Sa queue durcissait de plus en plus, et n'avait plus rien de commun avec la minuscule petite chose du départ. Certes elle n'avait pas la taille de celle de mon oncle, mais elle devait bien mesurer au moins 15 à 16 centimètres.
Tout en la suçant je me mis à la branler. Sandy poussait de petits gémissements de plaisir ravie du traitement que je lui faisais subir.
Au bout d'un moment, elle me releva et m'embrassa à pleine bouche. Elle avait un délicieux goût de fruit. Nos langues s'enroulaient l'une à l'autre dans un fougueux baiser. Sandy se laissa glisser à genoux et ouvrit ma braguette pour s'empare de ma tige. Inutile de dire que je bandais comme un âne. Sa bouche chose m'avala d'un seul coup jusqu'à la racine. Elle resta un petit moment collée à mon pubis, puis se retira lentement avant de me reprendre à fond. Elle avait une technique d'enfer, et je me promis de m'appliquer à sucer comme elle. Cela devrait sûrement plaire à Claude. Tout en me disant cela j'espérai que Claude ne prendrait pas ombrage de cette relation. A moins qu'il n'est prémédité cette rencontre.
Pendant ce temps Sandy me suçait avec application. Je regardai son beau visage et sa bouche m'avaler. Le spectacle était superbe. Ma queue était tendue au maximum. De temps en temps Sandy serrait fortement la hampe, faisant ainsi gonfler mon sexe. Elle le contemplait , puis à nouveau s'empalait dessus. Tout en me suçant elle caressait mes fesses puiis titilla mon anus. Après avoir mouillé son doigt.......
A suivre..................
Solène Violée par 3 loubards
Ce soir là, je me rendais dans une boîte située pas très loin de chez moi. J’avais décidée d’y aller à pied. Mes hauts talons claquaient sur le bitume, et sous ma jupe je sentais la fraîcheur du soir. Sensation très agréable, avec en plus le frottement de mes jambes gainées de soie. Je m’excitais toute seule, sans regarder autour de moi, quand tout à coup un homme se dressa devant moi. Une petite gueule de loubard, avec des yeux vicieux me fixait. Un peu affolée, je voulus m’enfuir, mais aussitôt je fus saisie par deux autres hommes.
-Où veux-tu aller ma jolie ? On te fait peur ?
Paniquée je ne disais rien.
-Tu sais que ce n’est pas très prudent de se promener toute seule le soir. Surtout quand on est un si joli petit lot.
-Nous allons t’emmener faire un petit tour.
-Ne me faites pas de mal, je ferai ce que vous voudrez.
-Bien ma choute ! t’es raisonnable, allez les gars embarquez là dans la voiture.
Une portière s’ouvrit, puis je fus poussée à l’intérieur du véhicule. Une fois assise, un des hommes me mit un bandeau sur les yeux. J’étais assise au milieu, et je sentais les mains de mes ravisseurs caresser mon corps. Malgré ma peur je les laissais faire, après tout il valait mieux ne pas résister, plutôt que de me faire tabasser. Une main avait ouvert mon manteau, puis s’était emparée de mes seins.
Putain !chef, elle a de super nibards !
Vas-y, ouvre lui sa robe qu’on les voit bien
-C’est pas du toc.
Deux paires de mains me caressaient, pinçant mes tétons, étirant les pointes, jusqu'à la douleur, puis une bouche se mit à me lécher. Le male suçait mes bouts délicieusement. Pour un loubard, il avait des manières raffinées. Tandis que mes seins se faisaient peloter et sucer, une autre main s’infiltrait sous ma jupe, arrivé à la lisière des bas, elle caressa ma peau nue. Je frémissais de plaisir, mélangé à la crainte de leur réaction, quand ils allaient découvrir mon sexe d’homme.
Ce qui devait arriver arriva, la main se posa sur ma culotte, je sentis des doigts me palper, puis d’un seul coup le male hurla.
- Vous n’allez pas me croire les copains, c’est un travelo !
-Les deux autres éclatèrent de rire.
-Arrête tes conneries Max, avec un châssis pareil ça ne peut pas être un mec.
-Eh ben regardez bande de tarés, c’est quoi ça ? dit-il en soulevant ma robe.
Non de dieu ! T’as raison.
-Pour moi ça ne pose pas de problèmes, s’il veut jouer à la gonzesse, on va s’en servir comme d’une gonzesse. En plus il parait qu’il n’y a pas meilleure suceuse qu’un trav. S’exclama mon voisin de droite. Joignant le geste à la parole, il crocha sa main dans mes cheveux et amena ma tête au niveau de son sexe. Il était déjà complètement sorti de sa braguette et bandait à mort. Je décidai de leur montrer mes talents de pipeuse, prête à tout pour ne pas subir de sévices.
-Ouvre ta bouche pouffiasse, que j’y mette ma grosse bite. A peine l’avais-je ouverte, que le male y fourra son sexe. L’odeur était un peu forte, mais cela ne me rebutait pas. J’en avais sucé bien d’autres. L’homme m’appuyait sur la tête me forçant à suivre sa cadence. Je m’appliquais sur la verge, emplissant ma bouche de salive, pour la rendre aussi accueillante qu’une chatte.
-On voit que tu aimes ça ma salope, tu dois en bouffer des bites ?
La bouche complètement envahie par cette queue m’empêchait de répondre. De toutes façons l’homme ne voulait qu’une chose, se faire reluire la bite. Après ma frayeur du début, je commençai à apprécier la situation. Surtout que le deuxième loubard pelotait toujours mes seins. Il les empoignait à pleines mains, puis me tirait les bouts. Ces deux mecs me rendaient folle. Pompant toujours vaillamment la bite, je sentis la voiture ralentir, j’entendis un rideau métallique s’ouvrir, puis se fermer une vingtaine de secondes après. La voiture s’était arrêtée. On me fit descendre et en même temps on m’enleva mon bandeau. J’étais dans une sorte de loft. D’un côté une petite partie servait de garage, tandis que le reste servait d’habitation.
-Madame est arrivée. Tu as de la chance, tu vas avoir trois bites pour te défoncer.
-Déloques-toi en vitesse que l’on voit ton cul de pouffe.
J’enlevai mon manteau, puis ma robe suivit. Je n’avais plus que mon porte jarretelles, mon string et mes chaussures à talons.
-Alors le spectacle vous plaît mes petits salauds ?
-Tu manques pas de culot pour une gonzesse me dit celui qui semblait être le chef.
-Comme de toutes façons je passerai à la casserole, j’aime mieux m’offrir à vous et profiter de vos bites.
-Eh ben au boulot petite pute.
Obéissante, je m’agenouillai devant le chef. Quelques secondes me suffirent pour ouvrir la braguette et sortir la queue du male. Je dois dire que la bête était superbe. Il bandait déjà pas mal, et le gland était à moitié découvert. Je me mis à branler le sexe, une petite goutte perla au bout. D’un coup de langue je la lapai, puis j’enfournai la bite dans ma bouche. Heureusement, dame nature m’a doté d’une grande bouche, car l’engin volumineux y rentra tout juste. Je pompai le nœud, m’amusant de temps en temps à l’absorber jusqu'à la racine. J’entendais en même temps les commentaires.
-Ca c’est une bouffeuse de bite, regardez les potes elle me bouffe toute la queue !
Ils pouvaient dire tout ce qu’il voulait, l’essentiel pour moi était de sucer ce vit magnifique. Mes lèvres coulissaient le long de la colonne, à chaque retrait le membre apparaissait couvert de ma salive. Le gland luisait, chaque fois que je lui pressai la tige une petite goutte perlait au bout. Un régal pour suceuse. Variant les plaisirs, je descendis lentement avec ma langue le long de la tige, puis léchai les testicules, avant de les avaler une à une.
-Continue conasse broute moi bien les couilles, profites en, car je suis sûr que tu dois rarement en bouffer d’aussi grosses.
Les deux autres compères s’étaient rapprochés, la queue à la main. Je ne pouvais pas les laisser dans cet état. Pompant à nouveau l’engin, j’attrapais les 2 males par la queue, et les
masturbai. Je crois que beaucoup de mes copines auraient bien voulu être à ma place. Trois queues à sucer, un vrai paradis.
Tour à tour je les suçai tous les trois. Ils ne disaient plus un mot, se contentant de m’offrir leur sexe. La scène dura un bon quart d’heure, avant que le chef décide de varier un peu les
plaisirs.
-On va voir si cette pouffiasse est aussi bonne du cul que de la bouche.
- Mets –toi à quatre pattes que je t’enfile l’oignon.
-Vas-y chef défonce lui le cul. Ramone lui le derche.
Je me mis en position, écartant bien mes genoux et creusant mes reins.
-Elle a vraiment un cul de gonzesse, dit-il, avant de cracher sur ma rondelle et d’enfoncer un doigt dans mon anus.
A peine lubrifiée, je sentis le gland épais buter sur ma rondelle, les deux mains crochant mes hanches, il poussa vigoureusement son dard en avant. Sous l’assaut mes reins s’ouvrirent avalant la tige noueuse. Il s’enfonça complètement, jusqu'à ce que ses testicules viennent frapper mes fesses. Malgré moi je n’avais pas pu m’empêcher de crier, mon petit cul bien rodé, avait eu un peu de mal à absorber l’énorme pine. Heureusement la douleur s’estompait. Le male me besognait avec la régularité d’un métronome, martyrisant mes chairs intimes, faisant fi de mes cris.
Qu’est-ce qu’elle prend dans le cul, un vrai garage à bites cette trav!
C’est sûr qu’elle est bonne, le cul un peu serré, mais c’est encore meilleur. De toutes façons quand elle aura pris nos trois queues dans le cul, elle aura le trouffion aussi accueillant qu’une chatte.
Pendant ce temps les deux autres loubards se faisaient sucer le poireau à tour de rôle. Ramonée de chaque côté, j’étais vraiment à la fête. Rapprochant les deux bites, je réussis à les sucer ensemble, pour le plus grand plaisir des deux males qui n’en revenaient pas.
Putain de mes burnes, une véritable avaleuse de sabre, je continuai quelques instants, mais les coups de bite de mon enculeur étaient devenus de plus en plus violents, si bien qu’il me
propulsait sur ses deux compères, qui m’empalaient avec leur bites. Suffocant à moitié, je les recrachai, puis me mis à lécher simultanément les deux hampes dégoulinantes de salive.
Derrière moi un autre glissa sa queue dans ma raie, et d’un coup de reins m’encula. Mon cul bien dilaté, par le précédent occupant se fit mettre sans douleur. Quel pied, mes chéries d’être pinée aussi sauvagement. Je n’avais plus que deux mecs qui me baisaient, le chef, son affaire faite s’était avachi sur un canapé, tout en sirotant une bière. Malheureusement, mon enculeur devait être abonné au club des éjaculateurs précoces, car il se mit à jouir bruyamment au bout de quelques minutes. Il se vida longuement par saccades, m’emplissant le cul de jus tiède, puis retirant sa bite termina son éjaculation sur mes fesses. Sans doute excité par la vue de son copain jouissant sur mon cul de chienne, celui que je suçai, m’empoigna les cheveux et se mit à baiser ma bouche à toute allure. J’avais l’impression qu’une immense bite traversait tout mon corps, prise à fond par les deux bouts. Un jet de sperme m’inonda la gorge suivit de plusieurs autres qui m’inondèrent le visage. L’émission de foutre était tellement abondante que j’avais un mal fou à déglutir. Péniblement j’avalai une partie de ce jus délicieux, en même temps je sentais le jus couler sur mon visage. Un dernier spasme du male me rinça encore la glotte. La bouche pleine je pompai toujours la queue gluante, un vrai régal pour une salope. Pendant ce temps mon enculeur, malgré sa jouissance continuai à me pistonner, excitée par tout ce foutre et les délicieux sévices subis, je me branlai furieusement, puis à mon tour je déchargeai violement. Mon enculeur se dégagea, puis me retournant j’avalai sa queue pour un petit nettoyage bien mérité. Une fois terminé, à ma grande surprise l’homme m’attira à lui et me roula un superbe patin.
Les trois males, rassasiés de sexe s’étaient affalés dans le canapé et sirotaient des bières en rotant bruyamment, tout en faisant des commentaires sur la baise qu’ils venaient de s’offrir.
Quand a moi j’essayais tant bien que mal de réparer les dégâts. Ma provision de kleenex ne suffisait pas à nettoyer le foutre dont j’étais couverte. De longues traînées de foutre maculaient mes cuisses, quand à mon visage, il était tout poisseux de jus.
Prenant pitié de mon état, le chef m’indiqua le fond du garage.
-Si tu veux, tu peux aller te laver le cul, il y a une douche dans le coin de la pièce.
Salope jusqu’au bout, je me dirigeai vers la bouche en tortillant du cul.
-C’est vraiment une chaude du cul cette pouffiasse ! s’exclama un des trois.
-Avec ce qu’on lui a mis dans le cul çà devrait la calmer un moment.
Pendant ce temps je m’étais déshabillée, et me rinçais sous le jet. Une fois propre, je me séchais, puis remis mes vêtements.
Une fois prête, le chef s’approcha et me dit : comme tu as été une bonne baiseuse, Miguel va te raccompagner jusqu'à chez toi. Les rues ne sont pas toujours sures, et tu pourrais faire de mauvaises rencontres.
Sa remarque ne manquait pas de sel, après le traitement que je venais de subir. Je montais dans la voiture, après avoir embrassé les deux autres, et nous quittâmes le loft.
Une question me brûlait les lèvres ; dis-moi Miguel ? tu es le seul à ne pas m'avoir enculée. Est-ce que je ne te plaisais pas ?
-Pas du tout, tu n'as pas devinée pourquoi ?
-Non !
-Disons que moi aussi j'aime bien les garçons, et j'aurai bien voulu être à ta place. De plus j'ai trop peur que les copains sachent que moi aussi je suis pédé.
-Je comprends mieux.
-Aimerais-tu que nous allions chez-moi pour quelques petits jeux cochons.
-J'en serais ravi.
-Malgré tout ce que j'avais pris dans le cul, j'avais encore envie de bites, et la perspective de me gouiner avec Miguel me remplissait d'aise.
Après lui avoir indiqué le chemin, nous arrivâmes à mon domicile.
Sitôt entrés, je montrais le salon à mon invité.
-Installe-toi
A suivre...................;
Rendez-vous hot
Disposant de mon après-midi, je voulais en profiter pour faire un petit tour sur une aire très fréquentée par les amateurs de bites. Malheureusement je n'avais pas eu le temps de me changer. C'est donc (une fois n'est pas coutume) en garçon que je me rendais sur l'aire. Une fois sur place après avoir garé ma voiture je descendis faire quelques pas le long des voitures rangées un peu plus loin. Un peu salope sur les bords, je marchai en roulant des fesses jusqu'au bout du parking, puis retournai à mon véhicule. A peine revenu je fus surpris par un homme venant de derrière moi.
-Bonjour me dit-il
-poliment je répondis bonjour à mon tour
-Tu cherches quelque chose ?
-Hum !! je crois que j'ai trouvé dis-je en effleurant la protubérance cachée sous le pantalon.
-Dis-donc j'ai l'impression que tu es une bonne petite salope.
-Oui mais une petite salope en train de se refroidir.
-Suis-moi.
J'emboîtai le pas de l'homme et tout au bout du parking il s'arrêta devant un camping car.
-Ca te plait ?
-Super baisodrome répondis-je
-Aller monte
Je ne me fis pas prier. A l'intérieur toutes les ouvertures étaient masquées. On ne pouvait pas faire plus discret.
-Enléve tout, j'ai envie de te voir à poil.
En moins d'une minute je me retrouvai nu. Mon compagnon avait déja sorti son sexe. Hum !!! intéressant.
Aussitôt je m'agenouillai devant le male, et engouffrai sa queue dans ma bouche. L'homme poussa un soupir de plaisir.
-Vas-y ma cochonne régale-toi.
Arrondissant ma bouche au maximum, je m'empalai à fond sur son sexe. Malgré sa belle taille j'arrivai à l'avaler complêtement.
-T'es une sacrée bouffeuse de bites ma cochonne. Continue avale moi bien.
Encouragée par le male je suçai ce bel organe, ma bouche au fur et à mesure se gorgeai de salive. Sa queue baignai dans ce fourreau humide, a l'instar d'une chatte remplie de cyprine. Puis le male se saisit de ma tête à deux mains et se mit à me limer de toute la longueur de son sexe, faisant de moi une machine à baiser. Vu la puissance de ses mains je ne pouvais pas résister, et me laissais baiser la bouche. Le petit jeu dura une bonne dizaine de minutes pendant lesquelles je suffoquai à moitié. Ma salive dégoulinait sur mon menton et ma poitrine. Insensible à mes gémissements l'homme continua encore un peu, puis je sentis son pieu tressauter, avant de propulser son foutre au fond de ma gorge. Sous la violence de l'éjaculation, je suffoquai, avant de déglutir. Le male déchargea à nouveau, une partie dans ma bouche et le reste sur mon visage. J'étais rempli de foutre tiède, sa hampe en était toute maculée, et mon visage ruisselait de sperme.
-C'est bon hein petite salope, régale-toi ma petite pompe à sperme.
L'homme ne bougeait plus. Consciencieusement je nettoyai la queue toute visqueuse, je léchai toute la hampe et les bourses. J'avais gardé un peu de son foutre dans ma bouche pour en profiter plus longtemps.
Sa petite lessive terminée, l'homme me releva et me roula un superbe patin.
-Toi si tu faisais la pute tu gagnerais une fortune. Je me suis rarement fais aussi bien pomper la bite. Maintenant tu te rhabilles et tu dégages.
Un peu vexé je m'exécutai , puis quittai le camping car.
J'étais aussi un peu frustré de ne pas m'être fait baiser. Tant pis ce sera pour une prochaîne fois.
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